Ode sauvage à Jan Petrus
Jan Petrus grand arpenteur du monde
Visionnaire
Et pour fixer les images que lui seul voit
Photographe
Peintre
Dessinateur
Va en solitaire sur les plages désertes
Parfois il interrompt ses marches désespérées
Et se plonge dans les vagues
Le bonheur des flots fracassés sur le rivage
Il est nu
Et le soleil caresse son corps
Alors il s’étend sur le rivage
Ferme les yeux
Et contemple le ballet des sirènes.
Jan Petrus collabore parfois à notre blog
Et nous laisse un billet
Chantant la beauté
D’une femme
D’une peinture
D’une sculpture
D’une œuvre contemporaine.
A l’occasion Jan Petrus tourne dans un film
Ancien acteur
Interprète des battements de cœur des pays qui cherchent une identité
Il cherche la révolution
Parfois le combat.
Les p’tits hôtels sont ses refuges pour la nuit
Parfois deux jours.
Pas plus.
Il revient de Cuba.
Un billet concernant une fille aux cheveux rouges.
Des musiques dans la ruelle imprégnée de l’odeur du cigare.
Un bandonéon crasseux sur le capot d’une vieille dodge des années 30.
Et pour la nuit…..
Pour la nuit….
Rêvez.
Demain la vie parisienne.
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